Objets étranges voire effrayants, la Bibliothèque conserve des masques mortuaires comme de nombreuses autres institutions patrimoniales. Chez nous, un seul d’entre eux est bien connu (celui de Jean-Jacques Rousseau, déjà présenté par Flavio Borda d’Agua), les autres sont largement oubliés.
Si la pratique est abandonnée progressivement, remplacée par les portraits photographiques post-mortem, l’hebdomadaire La Patrie Suisse trouve ce type d’objet encore bien utile en 1923 pour illustrer un article sur Charles Pictet de Rochemont, disparu avant l’invention de la photographie.