
Peter von Matt, auteur lucernois, a commis un petit ouvrage qui porte le sous-titre de « bonheur et malheur en littérature », il y parle du « bonheur comme une infection » ou de la « coïncidence entre le bonheur et le malheur », de « la connaissance du bonheur », d’un « joyau caché »…
« De Kleist à Marguerite Duras, un beau voyage au pays du bonheur qui fait parfois le malheur de l’écrivain. Et du malheur qui fait parfois son bonheur… » (4ème de couverture)
Il s’agit en fait de visiter les baisers littéraires selon une nouvelle science fondée par l’auteur : l’osculologie, la science du baiser. Encore plus savoureux, semble-t-il, s’il est unique… 300 pages à lire avec gourmandise peut-être, bien que l’affaire semble plus compliquée que ce que l’on pourrait imaginer…